Elève de l’Ecole du Louvre -Diplômée de l’Institut d’Art-Sorbonne (soutenance de la thèse en Sorbonne)
-Spécialisation en Art sacré tridentin à l’université de la Sapienza (Rome)
-Spécialisation en art baroque et du XIXe (Paris IV Sorbonne)
-Coopération avec divers musées en France et participant à la rédaction de catalogues d’exposition,
principalement sur le thème des Nabis. -Auteure d’ouvrages monographiques sur Paul et Marguerite Sérusier
-Accompagnatrice-conférencière de voyages culturels en France et à l’étranger
-Chevalier des Palmes Académiques -Déléguée de la Fondation du Patrimoine
Paquebots, trains, automobiles : trois modes de transport qui connaissent un développement considérable
à la fin du XIXe et au début du XXe siècle et qui stimuleront la créativité de René Lalique.
Passionné de vitesse et de modernité, il s’engouffre dans ce futur qui recherche le confort mais aussi un nouvel esthétisme.
Très vite, ce qui n’était qu’un moyen de transport, devient un art de vivre, en particulier pour les premières classes.
René Lalique, dont le talent de verrier est déjà internationalement reconnu, va contribuer à la décoration des paquebots,
véritables palais flottants. Le train n’est pas en reste, en particulier le Côte d’Azur Pullman Express,
pour lequel il imagine des décors de verre. Quant aux automobiles qui restent son moyen de locomotion préféré,
il créera entre 1925 et 1931, d’artistiques bouchons de radiateurs, dits mascottes.